Sans mentir, je crois qu'on pourrait remplir mon salon tout entier avec tout ce que j'ai pu lire (Grand Salon..) Je regrette parfois qu'il n'y ait pas plus de personne a qui je pourrais parler du dernier chapitre udapté par tel ou tel auteur sur Fictionpress. De la dernière Fanfic magnifiquement bien écrite sur un quelconque fandom ou encore du dernier livre oublier que j'ai déniché a la bibliothèque.
C'est presque frustrant de devoir garder ca pour soit parce que ca n'intéresse qu'un nombre limité de gens qui ne font pas partis de mes connaissances. Et aujourd'hui. alors que j'allais recommencer la lecture d'une fic qui m'avait particulièrement plu... "et pourquoi je ferais pas chier les gens jusqu'à ce qu'ils lisent ce que je lis ? è___è" Ca n'a sans doute qu'un intérêt limiter, et ca se trouve, personne ne se donnera la peine de lire ce que je propose mais au moins =o j'aurais essayer... et j'aurais fais de la pub a quelques auteurs qui je le sais -que ce soit en review ou en sous- ne seront que trop content.
Alors aujourd'hui je conseil : http://www.fictionpress.com/s/2448148/1/Twilight (je sais pas faire les liens .___.)
Le premier qui me sort "stéphanie Meyer" je lui met une tarte u___ù.
Je n'aime pas vraiment parler des choses que je lis parce que j'ai l'impression de le faire mal. De ne réussir a insufler qu'un centième des sentiments que m'inspire ces histoires. Mais, Miss Spooky Muffin a vraiment fait fort sur ce coup là. Et comme je relis l'histoire, je peux dire qu'au fur et à mesure son style prend de l'assurance et que ses descriptions prennent de plus en plus de vie. Le scénario de base parrait bateau aux premiers abords, mais, elle nous donne vite une note complètement différente des autres auteurs qui ont toucher au sujet. c'est touchant et surprenant du début à la fin. je précise u__u je ne lis que très rarement les histoires non yaoi. par simple goût. je ne boycott personne.
Some extacts ?
- C’est ma faute tout ce qui s’est passé, je l’ai quasiment poussé dans les bras de ce maniaque avec mes remarques à la con. Il aurait suffi que je m’excuse, que je ravale cette maudite fierté et que j’aille le chercher ce soir-là, que je lui dise que j’étais désolé et que je voulais passer la soirée avec lui à regarder un film débile à la télévision, juste pour l’entendre rire.
La honte m’empêche presque de respirer -
